Saurais-tu être celui qui me comprend,

Qui avec moi, prendrait tout son temps.

 

Celui qui pourrait voir mes rêves,

Même ceux les plus pervers.

 

Celui qui me chuchoterait tous ces mots que j’aimerais.

Saurais-tu être là, quand je ne me relèverais pas.

 

Lorsque j’aurais un trop plein de chagrin, quand tu serais loin.

 

Celui qui saurait voir dans mes yeux,

Tout ce que mon cœur veut.

 

Saurais-tu être celui qui se laisserait toucher par ma tendresse,

Mes mots et mes baisers, sans te pousser.

 

Celui sur qui je pourrais mettre toute ma confiance,

Même dans les moments de grande tourmente.

 

Celui qui, quand ma gorge rétrécie,

Saurait me dire oui, sans soucis.

Ma fille, ma douce enfant,

Dans mon cœur, je t’ai porté,

Je t’ai bercé tout tendrement,

Du plus profond de mes pensées.

 

Tu es mon rayon de soleil matinal,

Ma petite fleur et ses pétales,

La rosée du matin te purifie,

Car tu découvres la vie.

 

Mon bonheur est à son apogée,

Lorsque je vois tes yeux briller,

Je suis une maman comblée,

Devant-moi, tu es comme j’ai rêve.

 

Ton sourire Marjorie,

Est-ce qu’il y a de plus magnifique,

Avec toi mes souvenirs d’enfant,

Je les revis constamment.

 

Tes rires dans la maison,

Sont comme une chanson,

Ton monde imaginaire,

Que tu aimes nous raconter,

Nous fais toujours rigoler.

 

Ta chevelure dorée comme le blé,

Se laisse flotter au vent,

Comme tu es belle mon tendre enfant,

Tu es mon trésor, ma fierté.

 

Ta tête blottis tout contre moi,

Le sommeil te gagne au creux de mes bras,

Je sens ton cœur battre près du miens,

D’une caresse je frôle ta fragile main.

 

Ta peau est blanche comme celle des anges,

Petit être si fragile,

C’est pour toi que j’écris ces louanges,

Tu es ma raison de vivre.

 

Tu es la perle de mon écrin,

Qui se refuge au creux de ma main,

Je t’aime belle enfant et je suis fière d’être ta maman.

Le plus noble des citoyens est l'enfant...