Toi, femme de beauté aux grâces infinies

Au nacré de tes seins, j’esquisse le tracé.

La courbe de tes yeux imprime ma folie

Sur ton corps somptueux, je veux ma volupté.

Femme de plaisir pour les saveurs d’interdit

Mes mains amoureuses brûlant à l’infini.

Je frôle et te soumets murmurant mon envie

Et s’animent tes mots, pour finir dans un cri.

Femme tu es splendeur, sors mon cœur du sommeil

Pour l’éclat des diamants, pour les ruisseaux de miel.

Au velours de ta peau sous mes sens en éveil

Nos silences ont tissé les couleurs de mon ciel.

Femme ta douceur fait mon merveilleux soleil.

Caressant notre envol aux portes de la nuit

Ton regard s’alanguit et mon être s’émerveille

Troublante fleur, tendue aux plaisirs asservis.

Miroir mon beau miroir …

Nous voulons tout de l’autre connaître

Savoir ce qui se cache derrière son paraître.

Nous recherchons chez lui le bien- être

Alors que celui-ci est fond de notre- être.

Nous pourrons être heureux à cote de lui

Seulement quand nous aurons  compris,

Que le bonheur se puise  dans notre vie,

Et non par dans celle d’autrui.

Mais que nous soyons hommes ou femmes

Nous avons besoin de deux âmes

Qui, sur du temps, la trame

Savent éviter ou franchir tous les drames.

Deux âmes qui, après avoir flirté,

Apres s’être, l’une vers l’autre, laisser entraîner,

Savent, aux différences, se heurter

Sans jamais se déchirer.

Dans l’amitié comme dans l’amour

C’est de nous que nous devons faire le tour,

Encore et encore, encore et toujours

Sans relâche chaque jour, jour après jour.

Mais depuis la nuit des temps

Nous avons besoin de l’ami comme de l’amant

Pour savoir qui nous sommes vraiment

Seuls ! Nous pourrions chercher indéfiniment.

Avec sa robe pourpre

Il l’a aperçue un soir

Ses cheveux de soie noire

Signes mystérieux gravé sur son corps

Exprimant ses pensées et son sort

Ses yeux glacial, bleu

Peau de porcelaine

Pleurs silencieux

Qui laissent aller sa peine

Son sang coule avec tant de grâce

Un beau rouge coulant sur une paie blancheur

Laissant sur sa peau une tendre trace

De mélancolie et de douleur

O comme elle est jolie

La jeune fille gothique

Quand elle sourit a la mélancolie

Avec son visage angélique

Quand elle se promène la nuit

Dans de chaleureux cimetière

Silencieuse, sans aucun bruit

Elle chuchote des prières

Belle fille gothique, âme sombre

Tu es magnifique dans ta tristesse

Tu disparais a chaque fois comme une ombre

Et tu laisses son cœur dans toute sa faiblesse.