Tu peux dire au soleil de cesser de briller,

tu peux dire au vent de cesser de souffler,

tu peut dire aux enfants de cesser de crier

mais tu ne pourras jamais dire a mon cœur

de cesser de t'aimer.

La lumière est éteinte
Finie la douce étreinte
J'entends son souffle court
Celui d'après l'amour

Que d'images dans la tête
Nos corps étaient en fête
Mélanges d'épidermes
Entre bras chauds et fermes

Traces de mes baisers
Sur tes lèvres enflammées
Traces de tes morsures
Dans mon dos, éraflures

Ta tête sur ma poitrine
Mon coeur tu le devines
Il bat à cent à l'heure
Vitesse de nos ardeurs

Ma main dans tes cheveux
Sourire, je suis heureux
Je vais fermer les yeux
Et rêver à nous deux.

La Lune bien haute dans le ciel
guettait ce moment merveilleux
celui où, dans mes yeux,
apparaîtraient des étincelles
qui feraient de nous deux
des êtres, à l'amour, fidèles.

À ce moment, nos yeux se sont croisés,
l'espace d'une seconde on s'est envisagés
et j'ai prié que tes lèvres viennent
doucement se poser sur les miennes.
Me prenant la main, tu t'es rapproché
et m'a dit que tu m'avais toujours aimé.

Les battements de mon coeur devenus incontrôlables,
l'amour nous enlaçait d'un bonheur impérissable
tu m'as, par les mains, prise
et m'a emmenée danser
sur la douce musique de la brise.
Qu'aurais-je pu mieux espérer ?
Dès cet instant j'ai su qu'il était impossible que mon coeur se brise...

Nos regards passionnés
qui ne pouvaient plus se lâcher
nous ont, doucement, l'un à l'autre, scellés.
Nos coeurs réunis explosaient de bonheur
et nos lèvres aussi étaient victimes d'une bienfaisante fureur.

C'est une histoire de toutes pièces inventées
mais peut-être un jour aurais-je la chance inestimée
de la vivre avec l'être aimé.